Obscurs Objets du Désir - Bachelot Caron: 6 rue Chapon
Current exhibition
Overview
Après le succès de l’exposition Les assassins assassinés, dans le secteur principal d’Art Brussels en 2024, la Galerie Anne-Laure Buffard est heureuse de présenter Obscurs Objets du Désir, le nouveau Solo Show du duo d’artistes Bachelot & Caron. Le vernissage de l’exposition aura lieu le vendredi 14 mars de 17h à 21h, au 6 rue Chapon.
Cette exposition s’inscrit dans la continuité de la résidence effectuée par les artistes à la Manufacture de Sèvres qui leur a donné carte blanche, à l’occasion des 200 ans du Musée National de Céramique, pour créer, au sein de ses ateliers, un ensemble d’œuvres rendant hommage à la richesse de ses collections. À cette occasion, le duo crée notamment le Vase Olympia, inspiré de Marquet, de Manet et du Titien.
Le duo qui participe à de nombreuses expositions collectives aux côtés d’artistes comme Sophie Calle, Jacques Monory et Virginie Barré, est présenté dans de nombreuses institutions, telles que le Palais Idéal du Facteur Cheval (2023), l’Abbaye Royale de Fontevraud (2023), la Fondation Bullukian de Lyon (2021), au Passage de Retz (2012) ou à l’Hôtel de l’industrie (2008).
Dans la lignée de leurs derniers projets à la Manufacture de Sèvres et au Musée de l’Abbaye Royale de Fontevraud, l’exposition propose un dialogue entre une pluralité de médiums - céramique, collage, peinture et photographie - autour d’une interprétation personnelle de l’Olympia. Au sein de ce travail de réécriture, les artistes sollicitent la dimension profondément haptique de ces « Obscurs Objets du désir » qui peuplent tout autant notre histoire collective qu’ils ne peuplent nos vies intimes. La sculpture centrale en céramique émaillée, d’un mètre de haut, reprend le topos de la panière de fruit métamorphosé en amoncellement de formes liquides à l’aspect charnel, donnant le ton des déplacements opérés par les artistes qui nous font inexorablement basculer dans leur monde baroque. Les variations de matières s’expriment comme à fleur de peau à la surface de leurs nouveaux corpus de collages sur plaques en céramiques, de tirages photographiques ou de peintures qui questionnent la place de l’artiste et du modèle dans un grand jeu de représentations inversées.
À l'instar de la série des Vases Li - corpus d’oeuvres proposant une réinterprétation des vases en porcelaine chinois réalisés par Li Keming - ces objets hybrides, devenus œuvres sculpturales et picturales, revêtent cette esthétique dionysiaque et burlesque propre aux Bachelot & Caron.
Cette exposition s’inscrit dans la continuité de la résidence effectuée par les artistes à la Manufacture de Sèvres qui leur a donné carte blanche, à l’occasion des 200 ans du Musée National de Céramique, pour créer, au sein de ses ateliers, un ensemble d’œuvres rendant hommage à la richesse de ses collections. À cette occasion, le duo crée notamment le Vase Olympia, inspiré de Marquet, de Manet et du Titien.
Le duo qui participe à de nombreuses expositions collectives aux côtés d’artistes comme Sophie Calle, Jacques Monory et Virginie Barré, est présenté dans de nombreuses institutions, telles que le Palais Idéal du Facteur Cheval (2023), l’Abbaye Royale de Fontevraud (2023), la Fondation Bullukian de Lyon (2021), au Passage de Retz (2012) ou à l’Hôtel de l’industrie (2008).
Dans la lignée de leurs derniers projets à la Manufacture de Sèvres et au Musée de l’Abbaye Royale de Fontevraud, l’exposition propose un dialogue entre une pluralité de médiums - céramique, collage, peinture et photographie - autour d’une interprétation personnelle de l’Olympia. Au sein de ce travail de réécriture, les artistes sollicitent la dimension profondément haptique de ces « Obscurs Objets du désir » qui peuplent tout autant notre histoire collective qu’ils ne peuplent nos vies intimes. La sculpture centrale en céramique émaillée, d’un mètre de haut, reprend le topos de la panière de fruit métamorphosé en amoncellement de formes liquides à l’aspect charnel, donnant le ton des déplacements opérés par les artistes qui nous font inexorablement basculer dans leur monde baroque. Les variations de matières s’expriment comme à fleur de peau à la surface de leurs nouveaux corpus de collages sur plaques en céramiques, de tirages photographiques ou de peintures qui questionnent la place de l’artiste et du modèle dans un grand jeu de représentations inversées.
À l'instar de la série des Vases Li - corpus d’oeuvres proposant une réinterprétation des vases en porcelaine chinois réalisés par Li Keming - ces objets hybrides, devenus œuvres sculpturales et picturales, revêtent cette esthétique dionysiaque et burlesque propre aux Bachelot & Caron.
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